La fin de Nero Némésis, la naissance d’Arthage.
Chaque histoire a un point de départ. La nôtre commence avec Nero Némésis, un nom fort, brut, presque mystique. C’était notre première bannière. Celle sous laquelle nous avons appris, exploré, testé, chuté, grandi. Une identité forgée dans le feu de la passion, du code, des pixels et des nuits blanches.
Mais une mue était inévitable.
Nero Némésis : une ère, pas une fin
Ce nom nous a portés jusqu’ici. Mais il portait en lui une énergie qui ne nous ressemblait plus. Trop sombre, trop enragée. Nous ne sommes plus dans la lutte, mais dans la construction. Plus dans la vengeance, mais dans la vision.
Alors on a creusé.
On s’est regardés. On a regardé d’où on venait. Et tout nous a ramenés à la même chose : nos racines.
Carthage : l’écho d’une grandeur
Nous venons de Tunisie. Une terre millénaire. Une terre de contrastes, d’histoires, de richesses cachées. Une terre qui a vu naître l’une des civilisations les plus puissantes de l’Antiquité : Carthage.
Carthage n’était pas qu’une ville. C’était un symbole. De commerce, de stratégie, de culture, d’avant-garde. Une puissance qui rayonnait bien au-delà de ses frontières. Ce nom vibrait en nous. Il nous rappelait que nos origines ne sont pas une simple anecdote. Elles sont notre force.